La journaliste présente quelques caractéristiques des individus sans domicile fixe (SDF) : le plus
souvent des hommes, peu diplômés…
l’article indique les circonstances les plus fréquentes qui conduisent des personnes à se
retrouver à la rue : une séparation, une émigration… associée à la perception de
faibles ressources financières
Maud Navarre expose une typologie des jeunes SDF qui se qualifient eux-mêmes de « zonards » :il y a les « experts », les « travellers » « les zonards intermittents » et les « satellites » ; elle précise que l’origine sociale détermine la place dans l’univers de la zone ;
La journaliste indique que ce mode de vie favorise des conduites particulières (mendicité,langage…) et l’adoption de certaines valeurs (hédonisme, goût de l’aventure…), que les SDF blâment certains comportements (la dépendance aux stupéfiants…), et qu’ils perçoivent comme ennemies différentes catégories de personnes (les « racailles » et les « bourgeois » par exemple) ;
les sdf ont une grosse difficulté à nouer des relations affectives entre eux. Par contre des formes de solidarité se créent entre eux pour des raisons diverses, comme le besoin de protection à l’égard des vols ou des agressions (en particulier pour les femmes)
-Maud Navarre porte aussi son attention sur le phénomène de la mendicité (les techniques utilisées par exemple) ; mais certains ne veulent part se résoudre à mendier par egos ou pars principe. finalement i s’intéresse aux difficultés auxquelles sont confrontés les SDF en matière d’hygiène et de santé, ainsi qu’à l’action collective – très minoritaire – que cette population a menée dans le passé.
Quatre encadrés accompagnent l’article, dont les intitulés sont les suivants :
« 10 chiffres clés sur les SDF » ;
– « Le chien, fidèle compagnon de galère » ;
– « Combien gagne-t-on en faisant la manche ? » ;
– « Les SDF sont-ils fous ? ».
Culture générale BTS CFAI 